Un avantage qu'offre le web pour exposer sa vitrine, sans limite physique et où les documentations sont à portée de main.
Le centenaire de l'aviation civile et commerciale organisée par l'association en 2019 et notre entrée dans le virtuel concrétisée par une visite d'un avion Farman, pour son premier vol civil nous a confirmé l'impact du virtuel et l'importance du web dans notre société d'aujourd'hui, auprès d'un public aussi divers que varié.
Nous remarquons que les Blogs d'Aeriastory et d'Aeriapole, bien que consultés 2000 fois/mois, affichent leurs limites et ne répondent plus à l'ambition que voudrait afficher l'association pour atteindre d'autres objectifs en France et hors de l'Hexagone. Ils resteront toutefois, des élément de bases à la communication.
Avec le confinement, un pas vient d'être franchi. La visibilité de l'association, nous l’espérons, ne sera que grandie.
L’association, rappelons le, a été créée dans la logique du concept "d’Aériapole", après le centenaire de l’aéroport de Toussus-le-Noble en 2007, dans la perspective d’être acteurs d’un cadre de vie dans un environnement autour d’un aéroport.
Un concept qui innovait dans la ligne du Grenelle de l’Environnement, autour d’un projet de développement durable et qui communique sur son blog : http://aeriapole.blogspot.com : sur les événements autour de ce concept.
Lors du Centenaire, en 2007, la communication entre communes, associations de riverains et usagers de l’aéroport a été mise en relief. Les réclamations des associations de riverains ne reflétaient pas une opposition aveugle contre une activité aéroportuaire mais plutôt la résultante d’une gêne occasionnée par des mouvements ou des rotations sur des circuits qui, d‘après elles, ne seraient pas correctement adaptés.
A cela s’ajoute l’évolution démographique des communes, amenant naturellement à un développement urbain dans des espaces qui depuis longtemps étaient limités à des zones et des couloirs réservés au trafic aérien.
Tout porte à croire que c’est par la création d’un relationnel équilibré entre urbanisme et espace économique que doit donc évoluer cette concertation entre les parties n’ayant pas nécessairement des intérêts communs.
Le concept d’« l’Aériapole » depuis 2007 a apporté des bases de concertation sur un nouveau genre de relations pour la préservation d’un noyau économique vital à des régions en pleine expansion.
Un concept qui s’est concretisé sur des bases historiques, culturelles, pédagogiques, professionnelles et environnementales.
Pour le Département et la Région
Lors du Centenaire, en 2007, la communication entre communes, associations de riverains et usagers de l’aéroport a été mise en relief. Les réclamations des associations de riverains ne reflétaient pas une opposition aveugle contre une activité aéroportuaire mais plutôt la résultante d’une gêne occasionnée par des mouvements ou des rotations sur des circuits qui, d‘après elles, ne seraient pas correctement adaptés.
A cela s’ajoute l’évolution démographique des communes, amenant naturellement à un développement urbain dans des espaces qui depuis longtemps étaient limités à des zones et des couloirs réservés au trafic aérien.
Tout porte à croire que c’est par la création d’un relationnel équilibré entre urbanisme et espace économique que doit donc évoluer cette concertation entre les parties n’ayant pas nécessairement des intérêts communs.
Le concept d’« l’Aériapole » depuis 2007 a apporté des bases de concertation sur un nouveau genre de relations pour la préservation d’un noyau économique vital à des régions en pleine expansion.
Un concept qui s’est concretisé sur des bases historiques, culturelles, pédagogiques, professionnelles et environnementales.
Pour le Département et la Région
- Il a rappelé la présence d’un aéroport, son histoire et son évolution, une valeur ajoutée à l’importance d’un département « berceau de l’aviation »
- Il a mis en valeur la présence et l’histoire de la France dans ce secteur de l’aéronautique où elle a été pionnière, qui crée des milliers d’emplois.
- Il a dynamisé un secteur économique d’avenir menacé d’une disparition face à une urbanisation galopante.
L’aspect pédagogique :
Toussus le Noble et le Plateau de Scalay ont obtenu leur label d’une terre «berceau de l’aviation».
Les événements organisés ont créé une dynamique et apporté aux enfants et aux jeunes de tous milieux une approche directe du monde de l’aviation et des techniques de l’air, au départ par la création d’une école de pilotage virtuelle et une mise en pratique sur le terrain, tel que se sont créés les divers projets dont celui de E-Aviation d’ASF en collaboration avec Microsoft / CPS et ADP, puis l’arrivée du CFA des métiers de l’aérien .
Les événements organisés ont créé une dynamique et apporté aux enfants et aux jeunes de tous milieux une approche directe du monde de l’aviation et des techniques de l’air, au départ par la création d’une école de pilotage virtuelle et une mise en pratique sur le terrain, tel que se sont créés les divers projets dont celui de E-Aviation d’ASF en collaboration avec Microsoft / CPS et ADP, puis l’arrivée du CFA des métiers de l’aérien .
L’aspect multiculturel :
Etant de continuer à mettre en action un jumelage autour de communes européennes ayant un passé aéronautique. Celui projeté avec Duxford n’ayant pas abouti.
L’aspect professionnel :
En 2007 la proposition d’intégrer les nouvelles possibilités de simulation de vol dans l’apprentissage professionnel au pilotage dans les aéroclubs, afin de préserver leur présence tout en s’adaptant aux nouvelles frontières d’urbanismes et maintenir l’aéroport dans un cadre d’activités d’affaires et de loisirs était une utopie. Elle nous a value critiques et sarcasmes. Aujourd’hui , n'est ce pas une réalité?
L’aspect environnemental
Des maisons de l’environnement gérées par ADP existent déjà sur des aéroports comme CDG et Orly. Une communication active se fait régulièrement autour de ces pôles.
Nous retenons de l’information autour de ces maisons de l’environnement, tel que définie par ADP :
« Accueillir et informer les riverains : Les Maisons de l’Environnement
Lieux d’accueil, d’informations et d’échanges, les Maisons de l’Environnement offrent à tout visiteur des renseignements sur les activités des plateformes aéroportuaires, les actions menées dans le cadre de la politique de développement durable d’Aéroports de Paris et l’histoire du développement aéroportuaire.
Elles constituent un outil essentiel de la communication d’Aéroports de Paris en direction des collectivités locales, des riverains et des associations.
Les visiteurs sont accueillis dans un espace de près de 600 m2 riche d’informations. Ils ont notamment la possibilité de visionner des films portant sur les métiers et l’activité aéroportuaire, et le traitement des problèmes environnementaux. »
source : http://www.aeroportsdeparis.fr
Des maisons de l’environnement gérées par ADP existent déjà sur des aéroports comme CDG et Orly. Une communication active se fait régulièrement autour de ces pôles.
Nous retenons de l’information autour de ces maisons de l’environnement, tel que définie par ADP :
« Accueillir et informer les riverains : Les Maisons de l’Environnement
Lieux d’accueil, d’informations et d’échanges, les Maisons de l’Environnement offrent à tout visiteur des renseignements sur les activités des plateformes aéroportuaires, les actions menées dans le cadre de la politique de développement durable d’Aéroports de Paris et l’histoire du développement aéroportuaire.
Elles constituent un outil essentiel de la communication d’Aéroports de Paris en direction des collectivités locales, des riverains et des associations.
Les visiteurs sont accueillis dans un espace de près de 600 m2 riche d’informations. Ils ont notamment la possibilité de visionner des films portant sur les métiers et l’activité aéroportuaire, et le traitement des problèmes environnementaux. »
source : http://www.aeroportsdeparis.fr
Pourquoi pas un tel projet à Toussus, Une question posée depuis 2007 et toujours d'actualité…